Panique

Voilà ce que c’est de se mettre au défi!
J’ai pensé toute la journée à ce que je pourrai faire ce soir.

L’idée, ou plutôt les perles me trottaient depuis longtemps dans la tête.
Deux aiguilles en turquoise, parfaites pour des boucles d’oreilles.
DEUX, vous vous souvenez?
Mais alors ou sont elles?
Je cherche, je cherche, je cherche et je ne les trouve pas.
Je redécouvre des perles, des idées me viennent, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu.

Je pourrais  monter ce petit chat  créé par Teri Persing en collier pour Lou,

Oui, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu.

Et puis, je les retrouve dans une boîte improbable. Le petit chat attendra.

J’ai mes deux aiguilles, du fil de laiton, toujours les perles de prières tibétaines en os de yack,  rouges cette fois-ci avec des  rappels turquoise, des perles de laiton et pour couronner le tout, deux perles en verre ivoires de chez Blue Seraphim.

C’est ce que je voulais l’alliance du brut et du doux.
De la pierre, du métal, du verre et de l’histoire.

Et si je passais aux bracelets?
J’ai reçu quelques perles qui pourraient me donner des idées…

Perles Mermaid Glass

Un petit air de printemps

Pour les boucles d’oreilles de samedi, que vais-je utiliser?

Des connecteurs en céramique de chez Elaine Ray d’un joli vert d’eau printanier depuis trop longtemps dans mon stock.
J’ai bien envie aussi, d’essayer les clous à têtes aplaties (en forme de rames selon le terme britannique) de chez Patina Queen

Et avec ça, ce sera…?

Des perles uniques irrégulières ou facetées, des couleurs douces, de la transparence: chips de fluorite et perles améthystes. Les perles gemmes ou semi-précieuses.

Elles sont toujours un rappel de la nature, il n’y en a pas deux pareilles.
En attendant de voir ces couleurs sur les arbres, les voici aux oreilles:

Il me reste un connecteur tout seul, peut-être un petit collier en perspective…
En attendant, encore une paire…